En cette saison hivernale, il est important de soutenir son système immunitaire afin de limiter les risques des infections hivernales.
Après avoir soutenu, si besoin, la perméabilité et la flore intestinale (suivant les conseils de votre naturopathe par exemple), le magnésium est un axe intéressant. En effet, le magnésium est un minéral essentiel qui est utilisé dans de nombreux processus biologiques comme les fonctions nerveuses et musculaires. Il participerait à lutter contre la dépression et le stress et, les affections cardiovasculaires.
Un déficit de magnésium est courant notamment en cas de régime hypocalorique, prises de diurétiques, ou encore d’alcool.
Les effets des carences en magnésium peuvent se présenter par des signes nerveux, neuromusculaires, ostéoarticulaires / phanères, et autres.
Ainsi, au niveau nerveux, le déficit en magnésium peut se repérer par un été de nervosité, d’hyperactivité, d’irritabilité, des insomnies, des difficultés de gestion du stress et/ou de concentration, de l’anxiété, voire dans de rares cas, des crises d’angoisse, de la spasmophilie.
En ce qui concerne les signes neuromusculaires, il y a les spasmes des paupières, des tremblements musculaires, des crampes, fourmillements, arythmie (trouble du rythme cardiaque), spasmes digestifs de l’estomac ou des intestins, voire de la constipation.
Ensuite, le manque de magnésium peut induire des douleurs articulaires, caries, problèmes de peau, voire très rarement impacter la croissance, augmenter les risques d’arthrose ou d’ostéoporose.
Enfin, une carence peut provoquer un état de fatigue général, une fatigabilité à l’effort, des maux de tête, pertes d’appétit, nausées, vomissements, douleurs menstruelles et prémenstruelles, et, jusqu’à des vertiges, une oppression thoracique.
Seulement 30% des oligoéléments absorbés via l’alimentation sont valorisés lors de la digestion. Ceci s’explique par la compétition entre chaque oligoélément. Ainsi, trop de fer limite le métabolisme du cuivre et du zinc.
Afin de limiter ces interactions, le magnésium sous forme chélatée est intéressante. Le magnésium s’associe alors à un acide aminé d’origine naturelle (contenu dans les protéines), avant ingurgitation. Du fait de ce procédé, l’organisme assimile bien mieux le magnésium, et l’intestin grêle le tolère très bien.
Il est préférable de réaliser une cure de 3 mois, en suivant les recommandations du professionnel de santé ou du naturopathe, qui adaptera le dosage en fonction de vos besoins.
Le Vidal recommande 420 mg par jour pour un homme et 320 mg de magnésium pour une femme. Cette quantité varie en fonction de l’âge, de l’état (grossesse, allaitement…).
En cas d’insuffisance rénale, il faut éviter la cure.
Afin de se rapprocher des recommandations journalières de magnésium, il est recommandé de consommer du chocolat (70% de cacao minimum), des légumes secs, céréales complètes, noix, graines, légumes à feuilles vert foncé, levure de bière, germé de blé et certaines eaux minérales dont Hépar, Rozana ou encore Hydroxydase.
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